Projet ATISÉE (Analyse territoriale des impacts sociaux au sein de l’ÉE)
Équipe
Geneviève Brisson : anthropologue de l’environnement, professeure-chercheure au département Société, Territoires et Développement de l’UQAR et directrice du projet de recherche.
Marie-Josée Fortin : professeure-chercheure au département Société, Territoires et Développement de l’UQAR.
Yann Fournis : professeur-chercheur au département Sociétés, Territoires et Développement de l’UQAR.
Valérie Jean : professionnelle de recherche à l’UQAR et coordinatrice du projet.
En collaboration avec
Pierre André : professeur honoraire en Géographie humaine de l’Université de Montréal.
Saliha Ziam : professeure en Sciences de la gestion à la TÉLUQ.
Élodie Courant : professionnelle de recherche à la TÉLUQ.
Une recherche partenariale avec
Les ministères et organismes suivants :
Ministère de l’Environnement et de la lutte contre les changements climatiques
Ministère de la Culture et des Communications
Ministère des Affaires municipales et de l’Habitation
Ministère de la Santé et des Services sociaux
Institut national de Santé publique du Québec
Bureau des audiences publiques en environnement (BAPE)
Ce projet a été subventionné par le Conseil de recherche en Sciences humaines du Canada (CRSH).
Objectifs du projet
Le projet ATISÉE s’est intéressé aux processus internes de prises de décision et à leurs incidences sur la capacité à inclure les dimensions sociales lors des analyses des projets soumis à la procédure d’ÉE. Pour ce faire, elle a documenté les pratiques de l’action publique à travers des entretiens effectués auprès de spécialistes des différents ministères et organismes impliqués dans la procédure d’ÉE. L’objectif principal était de valoriser et de développer des connaissances théoriques et appliquées touchant la prise en compte des enjeux et impacts sociaux lors de la mise en œuvre de la procédure d’ÉE.
Il s’agissait d’une part de cerner quelques facteurs internes et externes qui influencent le travail et les pratiques des acteurs publics (voir les fiches synthétisant les résultats).
Et d’autre part, de traduire ces connaissances dans des outils analytiques appliqués favorisant une plus grande capacité à prendre en compte les dimensions sociales lors de l’ÉE.